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Un poème de mon invention.
Assise sur la rive d'herbe pure,
Tu regardais cette source s'écouler.
Pour ton âge déjà tu étais mûre
Et en âge d'aimer.
Tu écoutais la mélodie de l'eau
Cette mélodie qui t'apaisait
Tu écoutais le chant des oiseaux
Ce chant qui te fascinait.
Puis tu te levas,
Te dirigeant vers ce grand chêne
Qui te tendait les bras,
Pour te faire oublier tes peines.
Tu posas tes mains sur son tronc
Sentant sa sève couler
Vous formiez une union
Ses feuilles te caressaient.
Te te couchas alors sur le lit de mousse
Qui l'entourait.
Les rayons du soleil qui t'éclaboussent
Tu méditais.
Tu y resta un court instant,
Puis le quitta en douceur
Tu marchais tranquillement,
Pour aller cueillir des fleurs.
C'était comme si à ton passage,
Tous les végétaux s'épanouissaient.
Tu étais une enfant sage,
Et l'on te respectait
Tu cueillais des roses
Dont les épines tombaient près de ta main
Plus belles que tout autre chose,
Leur parfum était divin.
Tu étais la seule, qui de bon matin,
Pouvait cueillir des roses,
Sans se piquer les paumes des mains.
La seule de toutes les choses.
Extraordinaire et habile,
Tu était belle
Compatissante et fragile,
Si forte mais si frêle.
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Commentaires
c'est trop nul les poeme :)