• Un poème de mon invention.

    Assise sur la rive d'herbe pure,
    Tu regardais cette source s'écouler.
    Pour ton âge déjà tu étais mûre
    Et en âge d'aimer.

    Tu écoutais la mélodie de l'eau
    Cette mélodie qui t'apaisait
    Tu écoutais le chant des oiseaux
    Ce chant qui te fascinait.

    Puis tu te levas,
    Te dirigeant vers ce grand chêne
    Qui te tendait les bras,
    Pour te faire oublier tes peines.

    Tu posas tes mains sur son tronc
    Sentant sa sève couler
    Vous formiez une union
    Ses feuilles te caressaient.

    Te te couchas alors sur le lit de mousse
    Qui l'entourait.
    Les rayons du soleil qui t'éclaboussent
    Tu méditais.

    Tu y resta un court instant,
    Puis le quitta en douceur
    Tu marchais tranquillement,
    Pour aller cueillir des fleurs.

    C'était comme si à ton passage,
    Tous les végétaux s'épanouissaient.
    Tu étais une enfant sage,
    Et l'on te respectait

    Tu cueillais des roses
    Dont les épines tombaient près de ta main
    Plus belles que tout autre chose,
    Leur parfum était divin.

    Tu étais la seule, qui de bon matin,
    Pouvait cueillir des roses,
    Sans se piquer les paumes des mains.
    La seule de toutes les choses.

    Extraordinaire et habile,
    Tu était belle
    Compatissante et fragile,
    Si forte mais si frêle.


  • Commentaires

    1
    lili9574
    Mercredi 30 Janvier 2013 à 13:34

    c'est trop nul les poeme :)

    2
    TheKikou Profil de TheKikou
    Jeudi 31 Janvier 2013 à 12:05

    Naaaan ! C'est trop bien !

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